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Oggi, giornata della memoria...

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È stato calcolato (fonte Wikipedia) che i nazisti installarono nell’Europa da loro occupata non meno di 33 campi di sterminio dove si eseguiva “la soluzione finale”. Il primo, che ancora operava al momento della resa, fu Dachau.   Con la solita efficienza tedesca l’organizzazione funzionava come una macchina. Tot numero di Ebrei entravano, tot numero veniva affittata per lavori manuali, tot numero di Ebrei veniva eliminata, lo stesso numero di corpi spariva nel nulla o sotto terra. Organizzazione perfetta mirata al genocidio.  Al momento della resa da parte dell’Ammiraglio Doenitz il regime Nazista pel tramite della sua branchia armata più fedele, le SS, aveva eliminato quasi diciassette milioni di persone. 17 milioni di morti non uccisi dalla guerra o dai risultati di più azioni belliche, ma eliminati perché non rispondevano alle esigenze naziste della razza. Sono numeri che si stenta a comprendere tanto per il numero quanto per la motivazione e su questo i Nazisti, fini ps

Compétence personnelle de l'État: principes et applications

L'Etat exerce sa compétence personnelle à l'égard de ses nationaux. Elle dépendra par conséquent des conditions d'attribution par l'Etat de sa nationalité. On peut définir la nationalité comme le lien juridique qui rattache une personne à un Etat. Ainsi qu'en a disposé la Cour Internationale de Justice (CIJ), dans son arrêt du 6 avril 1955, dans l'"Affaire Nottebohm": " La nationalité est un lien juridique ayant à sa base un fait social de rattachement, une solidarité effective d'existence, d'intérêts, de sentiments joints à une réciprocité de droits et de devoirs; elle est, peut-on dire, l'expression juridique du fait que l'individu auquel elle est conférée, soit directement par la loi, soit par un acte de l'autorité, est en fait rattaché à la population de l'Etat qui la lui confère plus qu'à celle de tout autre Etat ". Né en Allemagne, établi au Guatémala en 1905, Mr. Nottebohm conserva des relations é

Un exemple emblématique de contrôle territorial: la stratégie de défense d'Israel à travers les justifications sécuritaires

Pour bien comprendre certaines nuances du contrôle territorial qui est la pièce maitresse de la souveraineté territoriale de chaque État reconnue par le droit international, nous avons choisi un exemple qui nous semble très emblématique de contrôle territorial: la politique stratégique d'Israel. Elle fera ainsi l'objet de cet article aujourd'hui. Avant de débuter toutefois l'analyse de cette politique, nous allons commencer par un anecdote. En 1999, des colons israéliens en Cisjordanie se rendent compte que la couverture téléphonique mobile est mauvaise dans leur zone. Pour résoudre ce problème, il convient d'installer un nouveau relais au sommet d'une colline avoisinante. Le problème est que cette colline est en territoire palestinien. Qu'à cela ne tienne, l'installation du relais est considérée comme une question de sécurité. Les autorités israéliennes ont donc, dans ces circonstances, le droit d'effectivement placer une antenne au sommet de ladi

Comment et pourquoi naissent les guerres sur la scène internationale?

L'origine  des guerres a fait l'objet de nombreuses études anciennes et récentes. Selon nombre d'auteurs, l'individu est la cause première des guerres. D'après cette opinion, l'être humain serait par nature disposé à la violence.  Dans le champ philosophique, des penseurs tels que Machiavel et Hobbes tiennent ce genre de propos (Ramel, 2011). Evoluant tous les deux dans des contextes sociopolitiques particulièrement troublés, ils défendent l'idée selon laquelle l'homme est mauvais par nature (idée que « l'homme est un loup pour l'homme »). Au XXe siècle, les penseurs du réalisme en politique internationale, comme Hans J. Morgenthau ou Raymond Aron, s'inspirent de cette façon de voir les choses (Morgenthau, 1948 ; Aron, 1984). Selon ces auteurs, le lien entre la nature profonde de l'homme et les conflits violents est évident. L'idée selon laquelle la guerre s'explique par la nature de l'individu se retrouve également da

SI PACE FRUI VOLUMUS, BELLUM GERENDUM EST

Pubblichiamo qui di seguito un saggio del nostro autore A. Ciappa, sull'attuale crisi migratoria che colpisce l'Italia, in primis, l'Europa in secundis. Il messaggio è chiaro e diretto: i flussi migratori e gli sbarchi sulle coste italiane devono cessare e l'Italia non solo ha il diritto di dire basta, ma ha anche l'obbligo di reagire per salvare se stessa. Certo, le nostre coste e solo le nostre sono prese d'assalto. Ma non per questo il problema è esclusivamente italiano. Al contrario, l'ingresso sul territorio europeo, che sia su territorio italiano o di altri Stati membri, rende il tutto, un problema comune allo spazio Schengen. l'Europa ha pertanto l'obbligo legale, oltre che morale, di farsi carico del problema. Buona lettura! "Questo saggio l’ho scritto e pubblicato sul WEB nel 2016 su un sito di giornalismo, senza aiuti esterni. Farina del mio sacco speriamo sia buona per il pane. Aldo Ciappa MBA SI PACE